Ma Fantaisie Glacée

Des cadeaux pour se faire plaquer...histoires drôles en AVANCÉ 5, alliance-française Pékin

Qu'est que vous imaginez sur le cours de la langue française au niveau avancé? Voilà ce qu'on fait dans la classe AVANCÉ 5 ("perfectionnement")...
Le dernier samedi le prof nous a donné quelques textes sous le titre "les cadeaux à offrir pour se faire plaquer"; ça veut dire les cadeaux les plus bizzares, fous, qui risquent de détruire l'amour romantique...Mais je vonlontairement avoue que certains sont très creatifs..alors ça dépend d'un sens d'humour. Suivants sont quelques exemples, des cadeaux et aussi des défences...
Un patte de poule, incongru et particulièrement affreux (Défence: "C'était pour te rappeler notre premier week-end à la compagne.")
Un crème pour les veilles peaux..d'orange..ça lui rappelera un effet cruel du temps qui passe et laisse sur son physique des traces indélébiles. (Défence: "Tu dis toujours que tu voudrais être plus belle!")
Un pot d'échappement pour la voiture, et vous encourrez le risque de vous retrouver dehors avec votre cadeau. (Défence: "Fallait me le dire que tu voulais un bijou!")
Des vieilles bijous héritées de votre grande-tante. (Défence: "Attends, tu sais combien ça vaut, ça, maintenant?)
Un chien, quelle petite touffe de poils...(Défence: "D'accord je vais le ramener. Mais tu l'auras sur la conscience toute ta vie.")
Un cochon de régime, l'ennemi ultime du grignotage, placé à l'intérieur de votre frigo, et il vous grognera desus à chaque ouverture.
Des bizous "parfumés": mangez de l'aïl, du roquefort et du hareng fumé, et ça lui laissera un souvenir impérissable.

Et maintenant à nos tours...tout cela sont des cadeaux garanti à faire mal, à faire se plaquer avec des filles, votre "dulcineé", donc nous sommes été demandés d'inventer des idées---des cadeaux à offrir pour perdre le petit ami...
Après discuter on n'était arrivé aux solutions très drôles, voilà les cadeaux et ses défences...(j'admire mes amis qui ont produit ces idées créatives...ça peut être utile...)

Une mutation de chocolat (Défence: "T'es chinois...donc je croyais que t'es habitué des aliments de mauvaise qualité!")
Une collection de papillon de nuit (Défence: "Je croyais que t'es passionné de biologie!")
Des pastilles contre la mauvaise haleine (Défence: "C'est pour améliorer ton image!")
Des photos des stars que j'adore (Défence: "Bonne comparison et bon courage!")
Un taplier de cuisine (Défence: "T'es tellement sexy quand tu cuisines!")
Un pantalon rose (Défence: "Tu veux toujours que je porte les couleurs gaies. Ce n'est pas à ton goût?")
Un laisse pour chien (Défence: "Tu dis toujours que je suis maîtrisse de ta vie.")
Une voiture en jouet (Défence: "Ça ne te rappelle pas ton enfance?")
Un préservatif plus grand (Défence: "C'est pas toujours la taille qui compte.")
Un rat mort (Défence: "J'ai trouvé qqn pour me remplacer!")
Des chaussures à talonettes (Défence: "Maintenant, tu peux être le Président!")
Un portable codé (Défence: "Je prends soin de toi...")
Un shampooing colorant (Défence: "Le rouge, ça fait rock star!")
Des chausettes parfumés (Défence: "À utiliser après le sport!")

Voulez-vous tenter? Méfiez-vous alors...Et je ne serait pas responsable des conséquences probables...Et bonne chance!

J'avoue que c'est mon meilleur moment en AVANCÉ 5, avec son défis prèsque insurmontables...pour la première fois (peut-être la deuxième fois...) la langue française me rend si triste, craignant que cette langue, si gracieuse si belle, ne dansera jamais du fond de moi...je le crains, je le crains...Quand j'étais encore débutante j'ai dit, en sanglots incessants, que on se torturait, on se tuerait, la langue française et moi. Je ne veux pas que le cauchemar revienne...
Tout ira bien, tu m'as dit. Mais maintenant t'es devenu mon plus-que-parfait. Et c'est tout fini, bien que je ne t'ai jamais offert les cadeaux ci-dessus.

Bienvenu à Pékin, c'est une chanson écrite pour les Jeux Olympiques....(qui était un cauchemar pour moi! Peut-être je l'expliquerai plus tard, mais pas maintenant...)
Ça me donne une impression profonde que cette ville ressemble un paradis cordial...Ayant habité à Pékin depuis cinq ans (et quelque mois), je me sens comme une résidente permanente.
Cinq années des joies et des chagrins, des sourires et des douleurs...Alors combien de temps j'ai dit, comme une plaisanterie ou bien toute désillusionée, que je voulais quitter, que je rêvais de partir, mais le temps de départ de cette ville où chaque rue est un ruisseau des souvenirs pour moi, ah, sera inondé par mes larmes de regret, et faisant adieu avec les doigts nues et tremblantes, la langue (ou peut-être c'est mieux d'utiliser le mot parole) ne sera pas suffisante...Je n'ose plus en imaginer...Combien de temps j'ai dit que je souhaitais d'être envoyée en Afrique, car la terre toute inconnue, m'aiderait-il à t'oublier? <<Loin des yeux, loin du cœur>>, ce proverbe dit-il la vérité, ou bien il n'est qu'une prétexte de partir, essayant vainement d'oublier un ancien amant?
Récemment il fait très froid à Pékin, la température s'est plongée comme folle---c'est effrayant! Pas de neige, le soleil brilliant mais glacé, la rafale gronde, dans les voiles de la nuit profondement noir comme une abîme, des mugissements de la rafale ressemblent des sanglots de déspoir. Triste.

Alors voilà la partie plus positive:

Pour écouter de la chason en chinois, vous pouvez voir le vidéo sur l'adresse suivant:

http://www.youtube.com/watch?v=wafhdYka2Fk

Et la version française de cette chanson (oui c'est moi qui l'ai traduite!)

Dans l'aube claire, rafraîchissant est l'air
Qui change mais sympa comme toujours, l'amitié parfumée au thé
La porte ouverte et les bras cordials, je vous souhaite la bienvenue
L'entende pousse dans une étreinte, et vous serez fasciné d'ici
N'importe d'où venez-vous, mon ami, faites comme chez vous
C'est une réunion plein de joie, et soyez le bienvenu
Les rhodeas dans mon jardin, ce sont les légendes fleurissantes
Semées dans la terre ancienne,  en vous laissant les souvenirs
N'importe bien connu ou pas, chèr invité, soyez aisé ici
Les paroles ne maqueraient jamais, combien de fois soit cette-visite-ci
Bienvenu à Pékin, qui vous ouvert les horizons tous nouveaux
Le charme s'écoule comme un ruisseau, plein de vie
Bienvenu à Pékin, et rejoignez-moi dans le soleil
Créez les nouveaux records sur cette terre jaune
Avec la porte ouverte j'étreigne le monde merveilleux
Le temps sourit comme belle jeunesse, accueillant cette date
Sous le ciel et dans un monde, nous sommes tous amis
Comme la poésie brilliant de joie, tout vous attend
Bienvenu à Pékin, qui vous émouvoit comme la musique
Bon courage et allons-y, dépassons-nous-même
Bienvenu à Pékin, où des rêves il y a, la grandeur il y aura
Et où le courage persiste, des miracles seraient crées

À propos, le nouvel an chinois (fête du printemps) s'approache...Bonne nouvelle année tout le monde! Que l'année de bœuf apporte beaucoup de bonheur~

Lettre d'amour mort

"Tu l'as trouvé, ton amour?"
"Non."
"Donc tu sais la question suivante."
"Camille, depuis lontemps j'ai aperçu tous les sentiments dans ton cœur. Et merci pour tout ça. Mais je ne suis jamais...je n'étais jamais...amoureux de toi."
Silence. La silence qui m'inondait comme la mer glacée, la température suffisait de me tuer, infiniment noire. Noir chat chassant sa queue, bavardant avec lui-même, lêchant sa blessure à côté des arbres nues en hiver, noir chat...c'est moi, comme une ombre sinistre.
Justin, mon collègue, mon ami, mon amour, ma passé (qu'elle fleurisse de mélancolie!), mon souvenir heureux, ma fantasie infinie, mon rêve dont je n'avais jamais envie de me réveiller, mon désespoir qui me possedait comme toujours, ma raison d'être, ma prétexte de mort, la tendresse de mon cœur, la tristesse de ma vie, mon sourire en larmes, ma douleur charmante, ma poésie sensuelle, ma promesse trahie, ma déstin prévu, mon illusion fatale, mon inspiration incessante, mon agonie violente mais somptueuse, ma claire fontaine si tranquille en soleil, ma croyance qui s'est tombée et mon cristal qui s'est cassé, l'abysse que j'y volais éperdue de joie et mon amour, mon amour.
C'est fini entre nous, tu sais bien, mon amour, mon amour qui me détruit jusqu'à la fin du monde. Traversant le forêt glacé des souvenirs tu te diriges vers moi, pour me tuer. Tuer et se suicider, il n'y a aucune différence énorme. La dernière haleine de ma vie s'arrête en silence, invisible mais omniprésent. J'entends chanter mon sang coulant, je témoigne de mon mort douleureux, sucrée des illusions.inccesantes. Le soleil m'a quitté pour toujours quand tu départs. J'entends murmurer: au revoir, au revoir, la chanson de l'âme saignant, la dernière chanson avant le trépas. Donc ça sera adieu, je te faisais adieu avec les doigts tremblantes, maigrées comme les branches nues, en l'hiver cruel (comme le refuge du chat noir...l'âme sœur du clairvoyant).
À ce moment je m'enfuis dans ma chambre, en solitude intarisible. Enterre-moi dans toi, et m'étreinds dans le mort. Je n'aurais rien à craindre, car le mort n'est qu'une vallée plein de fleures, ou un forêt baignant dans le temps perdu. Je t'attendais, pour si longtemps; je t'aimais, pendent les année de plus merveilleuses de ma vie, et je partirai, je mourrai. Les feuilles mortes soufflant, les fleurs se plongeant dans les eaux clairs et purs qui ressemblaient tes yeux.
                                                          Tes yeux
                                                           Les étoiles
                                Dix mille années
Cette poème j'ai traduis pour toi, mais ça ne m'importe plus si tu l'as oublié. Je ne suis qu'une ombre surréalle, et je mourrai, condamnée de la solitude éternelle. La poésie que j'ai composée s'arrête, dans la vie passée par l'ennui. Mais tout ça s'est arrêté, car tu m'a coupé dans la veine, ma veine souriante aux lèvres cramoisies. Tu me regardait, comme j'envisageais, à voix douce tu m'a condamné, au fond du noir profond et glacial de la nuit. Je pense encore...comme le temps passé ressemble une bouquet des fleurs, son parfum comme un poison. J'imagine de te prendre dans mes bras maigrés, ivre de ta passion quand je m'arrose de l'amour sur tes lèvres...Mais c'est fini, et ma poésie mourra dans la solitude, dans ce monde de kistch. Pour la dernère fois je pleure, mon amour dévoré par le temps ruisselant, enterré dans l'être invisible, il est disparu sans jamais revenir. Adieu, je m'entends de chuchoter en sanglots, et je te fais adieu.

C'est fini entre nous...              Sois heureux, promets-moi...

Et je parts...pour toujours...Je ne sangloterai plus... 

L'amour qui me quitte, c'est un part de moi...

Un cauchemar...ou bien la réalité de plus triste et éffrayante que le cauchemar?
Quelle est la différence entre le cauchemar et la réalité triste?
La bonne réponse: le cauchemar se termine à l'aube, quand on (la victime du malheur humain!) retourne dans la réalité, tragique comme toujours, mais cette réalité s'arrête seulement temporairement dans le sommeil, qui emporte les cauchemars (d'habitude) illogiques, absurdes, aberrants, signifiant un nouveau cycle tragique où on reste esclavé, attandant vainement de l'autre moitié de la souffrance. La morte, à la contraire, termine ce cycle (et tous les possibilité) pour toujours. C'est la connexion mystérieuse d'une mélancolie bruyante et une tranquilité sans vie, la frontière entre le terrain noir et compliqué qui m'attriste infiniment, et le terrain aussi noir, infiniment noir et inconnu, qui me guérira à la prix de ce corps. O ce corps! Ce corps qui inévitablement perd sa béauté de jeunesse, incapable de s'enfuir de la fin---la morte. Et la pourriture! La vie est une pourriture magnifiante, puant de l'hypocracie et des désirs volupteux. On tremble d'honteur, se fait croire que tout va bien, que le monde est un paradis construit, se dit "ne t'inquiète pas", chante les valeurs et s'occupe des débats philosophique (tout perplexé), et s'arrose---s'arrose! 
Ironique.

Les chansons que j'aime...
Les mélodies qui hantent mon ésprit, si doucement si mystérieusement...
Les lyriques qui ont construit un château d'illusion, dans l'azur profond, l'azur clair...intense et luminieuse...
Émilie Simon, elle me traverse avec sa voix d'ange, comme le ruisseau traversant une vallée des fleurs, comme le ciel, nébuleux avec une voile de nuage...
La nuit m'accompagnant, les étoiles brilliantes mais glacées décorant le ciel, j'écoute avec un cœur tendre, s' inprégant des sentiments comme un éponge, à côté de fasciné, près de pieux;  j'écoute jusqu'à la fin de temps, où ce monde sans raison d'être termine.

Chanson de toile...(voilà les lyriques)

Je viendrai te prendre 
Je saurai te défendre 
Au-delà des frontières
Je foulerai la terre
Je tisserai des chants 
Au soir et au le vant
Un point pour chaque étoile
Chanson de toile(bis)
Je tisserai des chants
Au soir et au levant 
Un point pour chaque étoile
Chanson de toile(bis)

Nul ne part en guerre
Pour revenir solitaire
Je saurai t’attendre
Chanson de toile 
Je tisserai des chants 
Au soir et au le vant
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile （bis） 
Je tisserai des chants 
Au soir et au le vent
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile (bis) 

Si loin de ton ciel 
Si loin de mon appel
Entends-tu mon coeur 
Entends-tu ma ferveur
Je tisserai des chants
Au soir et au levant 
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile(bis) 
Je tisserai des chants 
Au soir et au levant 
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile （bis） 

Je viendrai te prendre 
Je saurai te défendre 
Au-delà des frontières 
Je foulerai la terre
Je tisserai des chants 
Au soir et au levant 
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile(bis) 
Je tisserai des chants 
Au soir et au levant 
Un point pour chaque étoile 
Chanson de toile 

Ses autres chansons, incluant Fleurs de Saison, Rose Hybride de Thé, Le Veile Amant, Alicia (Quand Alicia compose une bouquet des fleurs...je sais le chanter...mais faut que je me garde en silence, dans l'inodation douce et sucrée...) sont aussi mes amies audibles mais invisibles. Elles me réchauffent, elles faisent ressembler mon soleil quand il n'y en a pas, quand je fais ressembler d'être guérie et heureuse. Végétal, comme ce mot me fais imaginer d'un jardin au printemps, il faisant beau...Émelie, votre voix m'étreigne avec la souffle de printemps, comme les vignes en vert vivant, dont les fraises prennent la forme de cœur, le cœur de printemps florissant. Et je vous écoute, je me perds dans le parfum des plantes, le jardin d'inspirations réchauffantes.

À propos (une histoire drôles, lol), bien connue est la chanson Hey Ho de Tragédie (est-ce que tu m'entends hey ho, est-ce tu me sens hey ho, touche-moi je suis là hey ho...oui c'est ça!). Étant un "party animal" qui hante les discothèques tous les weekends, cette chason me rembrunit toujours (et elle me fait danser!), mais il y avait longtemps que je n'ai pas eu le moins d'idée qu'elle est française! (Ça suffit de m'apitoyer sur mon français, n'est-ce pas?) Donc un jour, dans un boutique de disques, cette dialogue-là s'est passée...
Moi: Je voudrais quelques disques françaises (pour pratiquer mon français, hah...)
Patron: Toutes les disques françaises sont là...choisissez!
Qqn d'autre (bientôt j'ai découvert qu'il était dans le département de français): T'as déjà écouté de Tragedié? Aimes-tu "ho hey ho hey ho"...ça fait danser comme fou!
Moi: C'est français? Alors je ne savais jamais...
Lui: Quoi? Et t'apprends le français? Ton français ne marche pas...
Moi (sur le point de pleurer): Donc mon français n'est rien, vainement je donnais tous ces efforts...(sanglotant...)
Lui (tout effrayant): Désolé je ne veux pas te faire mal...
Moi (en sanglotant et le négligeant...): ...
Lui (perplexé et embarrassé): Désolé...
Et il s'est enfuit...(doutant: quel est ton problème?!)
Et je ne l'ai jamais vu depuis lors...

C'est suffisantement drôle...quel était mon problème à ce moment là?
Peut-être le français, c'est plus qu'une langue pour moi...
C'est mon jardin linguistique fleuri de poésie, et mon château où habitent mes fantasies.

Je m'appelle Camille, bien sûr, ce n'est pas mon prénom donné à naissance. Je me souviens de moment quand j'ai vu Camille Claudel, un des mes films favoris, l'histoire tragique mais belle, fatalement belle. Camille Claudel, un ésprit insurmontable plongé dans l'art, brûlé par l'inspiration et tué par l'amour. En ce moment je pensais: quel bonheur est-il, enterré dans les beaux arts (ce qu'elle aimait follement), amoureuse que jamais! Il y a déjà longtemps, mais ses yeux brillantes mais tristes me touchaient, comme les cris les plus émouvants au fond de noir, comme les doigts tremblantes frappant à mon porte. En larmes je m'ai donné ce prénom français, qui témoigne de la détruite incessante de beauté. Camille, ma Camille, on sera heureuse...mais seulement dans la conte de fées. Camille, en silence vous m'avez dit: c'est la tragédie dont nous ne pourrions pas s'enfuir. Je vous entends, j'ai dit, dans la silence fleurissant, dans une mélancolie fatale.
Je murmurai:
Camille, donnez-moi vos mains pour me réchauffer...
Camille, donnez-moi votre prénom pour m'intégrer dans cette tragédie humaine...
Et faites-moi partager vos chagrins, et tuez-moi, avec vos doigts tendres comme les plantes les plus fraîches au printemps.
Camille, ma Camille. Vous avez planté votre destinée dans la mienne, donc avec ce prénom, je me sens un part de vous, le lien mystérieux racontant une légende tragique, bientôt mélangée dans la tragédie humaine générale.

p.s. J'ai consulté www.meilleursprenoms.com, et ce que j'ai trouvé n'est pas poétique..ou littéraire...du tout!
Résultat de votre recherche
Prénom: Camille
Genre: F
Sens et Origine: Jeune assistante de cérémonies (étrusque).   
Fête: 14 juillet  (ok on doit fêter...)
À noter: dans les années 1900, Camille était attribué à un petit tiers de filles dans l’Hexagone. Il a fallu attendre le début des années 1960 pour atteindre la parité, puis 1965 pour que la version féminine de Camille soit prédominante. En 1995, sa percée dans le top 20 féminin a entériné son changement de sexe. Conséquence logique, ce prénom est aujourd’hui associé à la féminité.
Fréquence: ce prénom est très répandu. Il figure dans le top 50 français aujourd'hui.
Tendance 2007: stable.
Caractérologie: indépendance, direction, décision, dynamisme, audace (ouais ça me plaît...).

La conclusion: sentimentale moi!!!

Moi, Camille...Moi, Camille...Moi, Camille

                   Sache attendre...que les illusions fleurissent comme la solitude...